Marie Amar works are present in private and public collections.
Short listed twice at the Price Niepce for her works, La maison ( 2007) La Mutualité ( 2012 ), her photographs have been exhibited in numerous contemporary art fairs including Paris-Photo, FIAC, Photo-London, Art Paris, Kiaf, Art Cologne, Artbrussel.
She has had solo exhibitions in different galeries :
Espace de résidence de la galerie Ceysson & Bénétière : Les indéracinables. 2023
Samaritaine Voyage : Feuilles et Poussières. 2023
Galerie Brancolini Grimaldi (London, UK. Rome, Italy): La poussière. 2011
Galerie RX (Paris, France): FEUILLES, Les chaudrons. 2002 - Les Portes. 2005 - La maison. 2007
Galerie Thomas Zander (Cologne, Allemagne): FEUILLES, les chaudrons. 2005
Galerie Natalie Seroussi (Paris, France), Galerie Pascal Lansberg (Paris, France) : Mémoire de sable,1995
Photographier pour reconsidérer
Marie Amar entre en intimité avec le lieu, mesure un espace replié sur le sujet, observe la révélation de la lumière sur la forme. Photographier est une prise en considération.
L’artiste entre en perception de toute forme – matière ébranlée par la lumière. C’est en conjuguant espace et temps que se fonde l’acte photographique. Matière, lumière et temps sont les valeurs embarquées pour opérer le déplacement de la réalité.
Photographier revient à objectiver sa pensée, l’extraire de soi : donner vie à ce qui ouvre sur une image en devenir.
En conjurant le temps, l’image s’est matérialisée en objet de substitution, une surface de réparation. La proposition de l’artiste est de reconsidérer, selon les images.
Le geste de retrait du photographe invite l’attention du spectateur, pour faire advenir l’image, définir ce qu’il voit et se questionner sur sa destination.
Valérie Fougeirol
La réalité invisible de Marie Amar
Sobres et intemporelles, les photographies de Marie Amar fixent l’impalpable, l’atmosphère d’un lieu à l’abandon ou la délicatesse d’une feuille.
Les titres des œuvres de Marie Amar frappent par leur apparente simplicité : le sable, la maison, les portes, les chaudrons, la poussière. Calmes, méditatives, ses photographies du presque-rien, du banal, incitent à ralentir, à retenir l’instant.
Marie Amar s’inspire de la nature, sa matière première. Artiste conceptuelle en affinité avec l’arte povera et l’art minima, elle travaille par séries. La première, Le Sable ( 1993), est une suite d’images représentant des empreintes d’objets trouvés sur le sable (…)
Marie Amar a photographié ce qui subsiste de vieux chaudrons (les chaudrons), érodés, symboles de la décadence des temps modernes.
C’est aussi l’époque des Feuilles (2001-2009), diaphanes, organiques, sont les formes renvoient au cycle de la vie, par leur texture et la fragilité qui s’en dégage. « Souvent, je ne photographie pas la réalité visible et immédiate. Je pars dans la nature et c’est là que je photographie ce qu’elle m’inspire », confie la photographe.
Ainsi est née la poussière (2008-2012) une série aux couleurs profondes, évoquant les grandes toiles silencieuses du peintre américain Rothko. Ses images élégantes, distantes, décrivent avec subtilité le processus complexe du passage d’un état à l’autre, de la destruction à la recréation, de la disparition à la renaissance, dans un éternel recommencement.
Jeanne Fouchet-Nahas, Connaissance des Arts
- Sélection
- Les Indéracinables. Carte blanche. Espace de résidence Ceysson & Bénétière, 2023
- Feuilles et Poussières Samaritaine voyage . 5 photographies - 1 vidéo, 2023
- La poussière, Brancolini Grimaldi, Gallery — London, 2011
- Feuilles, Selinka Schmitz — Cologne, 2010
- La maison, Galerie RX — Paris, 2007
- Feuilles, Musée de l’architecture — Moscou, 2006
- Feuilles, Musée des Beaux-Arts — Valenciennes, 2006
- Les portes, Galerie RX — Paris, 2005
- Feuilles, Galerie, Thomas Zander — Cologne, 2005
- Feuilles, Galerie RX — Paris, 2003
- Portfolio Feuilles, Librairie Artcurial — Paris, 2003
- Les autopsies du rêve, Agence Publicis Etoile — Paris, 2000
- Mémoire de sable, Galerie Natalie Seroussi, Galerie Pascal Lansberg — Paris, 1995
- Sélection
- Sentience, écouter le parfum de la couleur - Abbaye de Maubuisson. Centre d'art contemporain, 2024
- New Light, Galerie François Léage — Paris, 2018
- Feuilles, Les 10 ans d'Images, MEP, Maison européenne de la photographie, 2013
- L’arbre qui ne meurt jamais, Théâtre des Sablons — Neuilly-sur-Seine, 2013
- Untitled 62, Temporary Gallery at Studio I.K — Cologne, 2012
- Plaisir, Galerie RX — Paris, 2011
- Paris Photo, Brancolini Grimaldi Gallery — Londres, 2011
- Paris Photo,Galerie RX — Paris, 2011
- New Era, Galerie RX — Paris, 2010
- L’océan, Palais Bellevue — Biarritz, 2010
- Paris Photo, Galerie RX — Paris, 2009
- Art Paris, Galerie RX — Paris, 2008
- Trois femmes — Trois photographies, Galerie RX — Paris, 2007
- Ni verre, Ni sage, Musée de la photographie, André Villers — Mougins, 2007
- Miroir mon beau miroir, Maison Guerlain — Paris, 2007
- Probing Space, Galerie Thomas Zander — Cologne, 2006
- Kiaf, Galerie RX — Séoul, 2006
- Quintessence 2, École des Beaux-Arts — Nîmes, 2006
- Paris Photo, Galerie Thomas Zander — Paris, 2005
- Quintessence, Galerie RX — Paris, 2005
- ARTissima, Galerie RX — Turin, 2004
- Paris Photo, Galerie Thomas Zander — Paris, 2004
- Art Cologne, Galerie Thomas Zander — Cologne, 2004
- Art Forum, Galerie Thomas Zander — Cologne, 2004
- Art Brussels, Galerie RX — Paris, 2004
- Aura, Galerie RX — Paris, 2003
- Artissima, Galerie RX — Turin, 2003
- Différentes natures, Printemps de la Culture — Paris, 2003
- Galerie RX — Paris, 2002
- FlAC, Galerie, Natalie Seroussi — Paris, 2001
- Paris Photo, Galerie 1900-2000 — Paris, 2000
- Paris Photo, Galerie Natalie Seroussi — Paris, 1998
- Paris Photo, Galerie 1900-2000 — Paris, 1997
- Arco, Galerie Natalie Seroussi — Paris, 1995
- FlAC, Galerie Natalie Seroussi — Paris, 1995
- Sélection
- Jeanne Fouchet-Nahas, La réalité invisible de Marie Amar, Connaissance des Arts
- Dominique Baqué, Trompe-l'oeil, territoires de résistance, maison, Artpress
- Fabienne Fulcheri, Les Portes, préface du catalogue d'exposition, Fabienne Fulcheri
- Leonor de Bailliencourt, Post-humus art, CKI
- Dominique Baqué, Au coeur des poussières,
- Sophie Bernard, Journal d'une renaissance,
- Serge Bramly, Mémoire de sable, préface du catalogue d'exposition,
- Paul Carey-Kent, Marie Amar & Pino Pascali,
- Alice Jones, La poussière, The Independent
- Michel Maffesoli, Basculement,
- B. P, Maison de la Mutualité, Télérama Sortir
- Paul Wombell, Dust,
- Le Monde d'Hermès, chaussures de sable. Couverture, p 20,21,22,23,24.
- Sélection
- La Maison de la Mutualité, Préfaces - Journal d'une renaissance par Sophie Bernard - Basculement par Michel Mafessoli, Editions GL, 2012
- Feuilles, Architecture muséum, Moscow, 2006
- Les portes, Préfaces Fabienne Fulchéri - Serge Bramly, Galerie RX editions, 2005
- Feuilles, Portfolio Red Art Edition / Ipso Facto, 2003
- Feuilles, Marie Amar Préface, Discussion Olivier Kaeppelin avec Marie Amar, Galerie RX edition, 2003
- Mémoires de sable, Galleries Natalie Seroussi and Pascal Lansberg, Préfaces Pierre Boulat - Serge Bramly, 1995
Sentience - écouter le parfum de la couleur.
« Sommes-nous aujourd’hui capables de nous sentir vivants ? »
Exposition (Vernissage le 28 mars) 29 mars – 1er septembre 2024. à l’abbaye de Maubuisson, site d’art contemporain du Val-d’Oise
Commissaires Marie Menestrier et Sumiko Oé-Gottini
Sentience–écouter le parfum de la couleur, est une exposition autour de l’olfaction. Parcours-expérience pour une approche synesthésique, elle convoque les autres sens, la vue, l’ouïe, le toucher, le goût... Le spectateur est invité à vivre la sensation olfactive à travers de libres conversations entre le monde du parfum occidental et l’art de l’encens (Kô-dô) développé au Japon il y a cinq cents ans.
En partenariat avec le département de l’archéologie du Département du Val d’Oise et le Musée François Tillequin qui présente des collections de matière médicale essentiellement végétales datées du XVIIIe siècle l’exposition réunit des éléments historiques dont des objets liturgiques liés au site cistercien de Maubuisson et des œuvres d’artistes contemporains venant de divers horizons (artiste plasticien, architecte, designer, orfèvre, parfumeur, photographe…).
Entré dans le Larousse en 2020, le mot « Sentience » signifie « Pour un être vivant, la capacité à ressentir les émotions, la douleur, le bien-être, etc., et à percevoir de façon subjective son environnement et ses expériences de vie. ».
Cette notion, dérivée du mot Latin « Sentiens », est encore peu familière en français. Cela ne l’empêche pas de provoquer de vives discussions car elle interroge les frontières de ce que nous appelons les « êtres vivants ». Sentience nous ouvre à d’autres cultures, d’autres civilisations, à une vision plus animiste où les hommes, les animaux, les plantes, les minéraux et d’autres inanimés constituent en symbiose notre environnement écologique.
Question : les humains sont-ils aujourd’hui sentients ?
Aujourd’hui, la pandémie, le confinement, semblent loin. Pourtant cette période si particulière, nous a laissé de nombreuses traces tant physiques que psychiques.
Les symptômes d’anosmie révélés par la maladie et dont on a tant parlé, ont fait prendre conscience de l’importance de l’odorat dans notre rapport au monde. La nécessité de rééduquer le sens olfactif, doublé du besoin urgent de renouer avec le sensible, nous a ouvert les yeux sur la réalité d’une société monolithique où la vue conserve une place dominante.
Par cette exposition, il s’agit d’inviter le public, avec les artistes, de façon plutôt intuitive qu’analytique, à réfléchir sur la question d(e l)’ « être vivant ».
« Sommes-nous encore capables de percevoir notre environnement et nos expériences de vie de façon sensitive ?
Sommes-nous toujours capables de ressentir les émotions, la douleur mais aussi l’être bien ?
Sommes-nous aujourd’hui capables de nous sentir vivants ? »
Prenant l’olfactif comme point de départ, chaque œuvre présentée dans l’exposition propose un cheminement singulier. L’odeur n’est ni le sujet principal ni l’unique objet. Il est placé autant au centre qu’à la périphérie, laissé parfois intentionnellement dans un flou sensoriel, par crainte de perdre l’essentiel à force de vouloir à tout prix le cerner. Tout comme le son ou la couleur, l’odeur a besoin des autres sens pour prendre consistance. D’ailleurs ces catégorisations ne sont pas valables dans toutes les civilisations. Par exemple, dans certaine culture la couleur et le parfum sont indissociables. C’est le cas de l’étymologie du verbe sentir l’odeur en japonais qui désignerait à l’origine « sentir la profusion de la beauté de la couleur dans un paysage ».
Tout vivant est lié à la nature. L’être vivant ne peut pas exister de manière fractionnée ni sans être relié à son environnement. Le désir de connaître a construit un monde analytique qui sépare, classe, catégorise, en créant de nouvelles frontières et des limites. Notre vision du monde est ainsi fragmentée depuis l’invention des encyclopédies.
C’est donc en remontant au Moyen-Âge, avant la naissance de l’encyclopédie que nous avons tenté de trouver des passerelles possibles pour faire dialoguer deux univers a priori éloignés, le monde du parfum occidental et l’art de l’encens (kô-dô) développé au Japon il y a cinq cents ans.
L’art de l’encens (kô-dô) est méconnu du grand public. Issue de la culture aristocrate à la cour impériale, cette pratique traditionnelle s’est ritualisée en prenant un sens particulier auprès des seigneurs de bataille épuisés par une longue période de guerre civile au XVe siècle. Le kô-dô est ainsi imprégné d’une vision esthétique de dépouillement et de l’impermanence liée à la vie éphémère (tout comme la cérémonie du thé). C’est en brûlant, en consumant les bois olfactifs précieux rares voués à disparaître que le kô-dô se pratique et se transmet de génération en génération. La cérémonie donne à vivre un instant collectif en immersion sensorielle totale en faisant voyager les sens en jouant la métaphore. Sous forme de jeux de mémoire, les invités tour à tour vont « écouter » les senteurs.
Fondée au XIIIe siècle, l’abbaye cistercienne de Maubuisson, était réservée aux femmes issues de la famille royale et de l’aristocratie. Une vie collective s’y organisait autour des moments de prières dans le silence et la sobriété en respectant les règles de Saint Benoît. Le parfum était utilisé dans les liturgies chrétiennes à cette époque comme en témoignent les brûles parfums en terre cuite retrouvés lors des fouilles dans le département du Val-d’Oise.
Au Moyen-Âge, les plantes olfactives sont cultivées dans le jardin des simples au sein des monastères et des abbayes. Ces plantes dites « simples » étaient utilisées au service de la pharmacopée. Les pouvoirs des plantes olfactives étaient censés éloigner les grandes épidémies comme la peste noire qui avait ravagé l’Europe.
L’histoire du parfum nous renseigne sur la pratique dans les rituels cultuels mais aussi sur le lien avec la médecine. Cela signifie que les mêmes matières premières qu’elles soient végétales, animales ou minérales pouvaient potentiellement non seulement nourrir ou créer mais également servir à parfumer, à maquiller, à teindre et à soigner.
Le sens originaire du parfum qui signifiait chez les Égyptiens « par la fumée » se retrouve dans le contexte de la liturgie chrétienne. En France et en Europe occidentale, l’usage cosmétique est cependant devenu aujourd’hui plus important contrairement au Japon et en Asie, où l’encens, la vision holistique au sens spirituel et du bien-être, est toujours vive.
Ce rapprochement inattendu du monde du parfum européen en France du Moyen-Âge avec l’art de l’encens de l’Extrême Orient permet de mettre en perspective une vision du monde occidental plus analytique et de prendre conscience des changements de paradigmes en cours.
Dans une société où le visible et l’invisible se côtoient, la vision n’a pas le monopole du contact sensoriel. Sans connaissance de la science, sentir est la chose la plus importante. Car l’être humain doit avoir un sens d’observation aiguisé de la nature et savoir puiser dans cette synergie du visible et de l’invisible, pour survivre.
Nous avons tous songé qu’en divisant, nous aurions une meilleure compréhension du monde. Certes nous avons gagné en efficience et en connaissance scientifique. Pourtant cette division nous empêche d’embrasser le monde dans son intégralité et de le comprendre. Paradoxalement, il continue à glisser et fuir entre nos doigts et nos sens séparés.
Cette exposition est une invitation à vivre une expérience d’être « sentient ».
Les cinq salles de l’abbaye se transforment en un parcours d’expérience et invitent le public à traverser un paysage sensoriel.
Les éléments, issus de fouilles archéologiques et d’une collection historique, constituent le point de départ de la visite. Immergé dans une salle devenue armoire d’apothicaire médiéval, où le spectateur découvre des matières à fins thérapeutiques et artistiques.
La vidéo de la photographe Marie Amar Pneuma (souffle en latin) présente une grande feuille qui respire et illustre la théorie de la signature dont le principe est de soigner les maladies par les plantes en analogie avec les organes atteints. Sphère du temps, œuvre olfactive conçue pour l’exposition par le parfumeur Daniel Pescio en collaboration avec des maisons d’encens séculaires japonaises propose des associations inédites où dialoguent l’univers du kôdô et du parfum.
Daniela Busarello, après avoir prélevé des matières sur le site de l’abbaye et les avoir transformées en pigment, les présentent dans une orgue de parfumeur réinventée. Les paysages grand format réalisés à partir des couleurs du lieu qui jadis abritait un jardin des Simples nous invitent au bien-être par une vibration profonde.
Julie C. Fortier, artiste olfactive propose un voyage multisensoriel. Tandis qu’une première œuvre, un grand tapis de laine coloré et parfumé propose au spectateur de marcher dans un paysage entre terre et mer, la seconde œuvre est un chemin jalonné de voiles de soie où un mirage poétique donne à voir, à sentir et à toucher.
Les Gardien.nnes de Berdaguer & Péjus met en scène par le parfum de la Xatartia, une fleur endémique des Pyrénées en voie de disparition. Plongé dans un paysage temporel diffracté, le spectateur devient témoin d’un rituel commémoratif anticipé, imaginé par les artistes en hommage à la plante, à la fois poétique et captivant.
Issu de la collaboration entre l’orfèvre Nicolas Marischael et le designer Felipe Ribon, Osmos revisite un encensoir du XVIIIe siècle dans un design contemporain épuré. Par le jeu de la matière et son mouvement giratoire méditatif cette pièce évoque l’oblation pratiquée dans les lieux cultuels qui élève la fumée en une offrande.
L’installation de Morgane Courtois met en face à face deux ambiances olfactives esthétiquement éloignées d’une banlieue parisienne contemporaine et de la cour de France du XIIIe siècle, étrangement reliés, tel un miroir distordu sur fond de décadence.
Avec le programme culturel réunissant des artistes et des chercheurs scientifiques autour de l’olfaction lors de tables-rondes ou d’ateliers, le public aura l’occasion par échange de connaissance d’ augmenter son expérience « Sentience ».
Texte par Sumiko Oé-Gottini, co-commissaire, chercheuse en design sensoriel spécialiste de la couleur
Avec Marie Amar, Berdaguer & Péjus, Daniela Busarello, Julie C. Fortier, Morgan Courtois, Daniel Pescio, Nicolas Marischael et Felipe Ribon.
Programme culturel sur le site de l’abbaye.
Commissaires : Marie-Menestrier, Sumiko Oé-Gottini
(A VERIFIER LES MENTIONS ET LOGO)
En collaboration avec : le Musée François Tillequin, collection de Matière Médicale / Faculté de Pharmacie et Sylvie Michel, Professeur émérite, Pharmacognosie, chimie des substances naturelles, responsable scientifique du musée.
Remerciements à : le Musée Internationale de la Parfumerie de Grasse.
La Sphère du temps de Daniel Pescio bénéficie du soutien de la Fondation Franco-Japonaise Sasakawa.
Le gardien parfumeur / Les Gardien.nnes de Berdaguer & Péjus bénéficie du prêt du CNAP.
Osmos a été créée par Nicolas Marischael et Felipe Ribon lauréats 2015 du Prix Liliane Bettencourt pour l'Intelligence de la main® - Dialogues
Sans titre. Les indéracinables, 2021 - 2023.
Tirage pigmentaire sur papier fine art.
Papier 50 X 75 cm,
Image 45 X 70 cm, 3 + 2 (EA)
Dimanche 17 septembre 2023
12h - 18h : Inauguration du nouvel espace de résidence
Ceysson & Bénétière à la Chaulme. Le Grand Rey, 63660 La Chaulme.
Carte blanche à Marie Amar
Restitution du projet photographique
Les indéracinables
13h : Brunch à La Chaulme
Sans titre. Feuilles, 2003 - 2009.
Tirage pigmentaire sur papier fine art.
Image 150 X 120 cm, 3 + 2(EA)